Soutien à l'Observatoire du nucléaire

Date

Le mardi 18 novembre 2014 à 18h

Lieu

Carte interactive !

Sous-Préfecture
Quai de Rohan
56 100 Lorient
(Lat. : 47.7446 Long. : -3.3599)

Sujet

AREVA ne fera la loi, ni en Bretagne, ni en France, ni au Niger, ni ailleurs

La Fédération anti-nucléaire Bretagne (dont fait partie Stop Nucléaire 56) demande que cesse l’impunité d’AREVA. L’extraction scandaleuse de l’uranium qui ne laisse qu’un héritage empoisonné aux générations actuelles et futures doit cesser.

Rappel de la motion de l'an dernier :

Rassemblement de soutien à l'Observatoire du nucléaire en procès à Paris pour avoir révélé et dénoncé la (supposée) corruption du président du Niger par Areva.

A l’appel de la Fédération Anti-nucléaire Bretagne, Stop nucléaire 56 :

  • apporte son soutien à l’Observatoire du nucléaire et son directeur Stéphane Lhomme lors du procès qui se tiendra vendredi 20 décembre 2013 à 13h30 au Tribunal de Grande Instance (TGI) de Paris l’opposant à la multinationale de l’atome, AREVA. Un rassemblement est prévu aussi à partir de 12h30 devant le TGI. Dans un communiqué du 11 décembre 2012, l’Observatoire du nucléaire dénonçait des manœuvres corruptives de la part d’AREVA envers le président du Niger suite à un « curieux don » de plusieurs dizaines de millions. http://observ.nucleaire.free.fr/
  • apporte son soutien aux associations du Cantal : « nos enfants et leur sécurité » et « pour notre qualité de vie à Saint Pierre » lors du procès du 19 et 20 décembre 2013 au TGI d’Aurillac. Elles accusent AREVA de pollution des eaux et abandon de déchets radioactifs dans les anciennes mines d’uranium du Cantal. La Bretagne rencontre une situation semblable dans ses anciennes mines d’uranium. Sortir du nucléaire Cornouaille a dénoncé cette situation publiquement dès juillet 2008 et 5 ans plus tard, le pollueur AREVA n’a effectué aucune action de décontamination ou de radioprotection vis-à-vis de la population malgré la relance constante de l’association Rozglas.
  • dénonce la multiplication des interventions françaises dans les conflits africains notamment celui de la guerre au Mali qui a pour but inavoué de protéger l’approvisionnement en uranium de la France dont la majeure partie vient du Niger. La dernière mine française a fermé en 2001.
  • s’inquiète de l’utilisation probable dans ces conflits de munitions à l’uranium appauvri qui pollue durablement les territoires, et expose la population à de graves conséquences cancérigènes et mutagènes.
agenda/stopnucleaire/soutien_a_l_observatoire_du_nucleaire.txt · Dernière modification : 15/11/2014 08:57 de webmestre