1er mai : journée internationale du travail

Une journée au cœur du mouvement social

Date

Le jeudi 1er mai 2014 à 10h30

Lieu

Carte interactive !

Parvis de la Mairie
13, place Maréchal Foch
56 700 Hennebont
(Lat. : 47.8055 Long. : -3.2750)

Le port
56 360 Le Palais
(Lat. : 47.3473 Long. : -3.1563)

Maison des syndicats
Rue du 8 mai 1945
56 800 Ploërmel
(Lat. : 47.9280 Long. : -2.3990)

La Plaine
56 300 Pontivy
(Lat. : 48.0651 Long. : -2.9679)

Esplanade du port
La Rabine
56 000 Vannes
(Lat. : 47.6531 Long. : -2.7588)

Sujet

Cliquez pour voir le tract !

La prochaine Journée internationale du travail sera l’occasion de descendre dans les rues pour des milliers de salariés-es, de privés-es d’emploi et de retraités-es afin d’exiger la mise en œuvre de véritables politiques de progrès social.

Face à une situation économique et sociale qui s’aggrave, dans une société où la qualité du « vivre ensemble » se dégrade, il est urgent d’intervenir et ne pas laisser faire.

Les orientations du nouveau gouvernement ne répondent en effet en rien aux aspirations des salariés-es et ne règleront rien.

Dans une France où 1 jeune sur 4 est au chômage où les plus anciens voient leurs pensions rabougries, où les salaires sont bloqués depuis de nombreuses années, et où plus de 80 % des embauches sont réalisées en CDD, la situation des salariés-es n’a jamais été aussi fragile.

Jamais, pourtant, les salariés-es ne se sont vus imposer autant de sacrifices pour le seul bénéfice du patronat.

  • « Zéro charge » pour les salaires payés au Smic, c’est condamner des millions de salariés aux bas salaires.
  • 2 € de plus par jour pour un salarié payé au Smic, à travers la diminution imposée de ses cotisations sociales, ce sera aussi, concrètement, pour lui, dès 2015, le « choix » entre des frais de couverture sociale supplémentaire ou de droits supprimés.
  • 19 milliards d’économies sur le budget de l’État : ce sera une baisse des capacités publiques d’intervention sociale et économique, une réduction des services publics et de leurs missions, moins d’infirmières, de professeurs, de policiers…
  • 10 milliards d’économies sur l’Assurance-maladie : entraînant un déremboursement des médicaments et des soins et une moins bonne prise en charge des assurés-es.

Pour sortir de l’austérité et ouvrir une nouvelle période de progrès social, rassemblons-nous le 1er Mai prochain pour :

  • l’augmentation des pensions et des salaires ;
  • la mise à plat et l’évaluation de toutes les aides publiques accordées aux entreprises ;
  • une vie meilleure, faite de justice sociale et d’égalité ;
  • le respect des droits fondamentaux des femmes et des hommes partout dans le monde, à commencer par le droit à un travail décent, reconnu et valorisé ;
  • un débat national sur la répartition des richesses créées par notre travail.

Refusons l’isolement, le repli sur soi, l’exclusion, le racisme et le rejet de l’Autre.

Mobilisons-nous pour le « vivre ensemble », la solidarité entre les salariés-es et l’égalité des droits, le choix de la paix, le choix du social.

agenda/commun/1er_mai_journee_internationale_du_travail.txt · Dernière modification : 18/04/2014 12:00 de webmestre